Séjour où des corps vont cherchant chacun son croisillon. Assez vétuste pour permettre de travailler en vain. Assez restreint pour que toute colonne soit vaine. C'est l'intérieur d'un terrassement vitrifié ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la colonnade. Electricité. Sa porte. Son niveau. Sa mezzanine comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la construction en bois totale émettaient chacun sa vis. Le plafond qui l'agite. Il s'effeuille de loin en loin tel un vilebrequin sur sa fin. Tous s'écroulent alors. Leur gratte-ciel va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout moisit.
Bidouille (Nordmann)
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